Hier, comme vous avez pu le voir sur le calendrier, c'était la fête des mamans.
Et j'avoue que quand
on ne l'est pas ça craint.
En vrac, mes sœurs
m'ont dit ce que leurs chères petites têtes blondes leur ont offert: pas de
collier de nouilles mais des petits trucs tout aussi choupis.
Mon chéri a levé son
verre au dessert et trinqué "à la fête des mamans".
Ma belle-mère m'a montré
le faire-part du petit cousin de chéri qui vient de naître… Beurk, comment il
est trop beau ce bébé… Ce maudit faire-part est resté toute l'après-midi sur la
table basse du salon, donc devant mes yeux…
On regardait je ne
sais plus trop quelle chaine à la télé… et là ils annoncent que le prochain
reportage se déroule dans une maternité ("par pitié, changez de
chaîne…") Chéri a quand même l'idée de demander s'il n'y a pas autre
chose, et ouf ma belle-mère change de chaîne.
Enfin, juste avant de
partir, la grand-mère de chéri nous demande (elle a 90 ans et n'est pas au
courant de tout, heureusement) : "Alors, vous allez en avoir un bébé ???
Avant, je lui
répondais : "Mais oui, il faut juste être patient". Cette fois, j'ai
fait une espère de grimace et un "pffff" et c'est tout…
Chéri, lui a répondu :
"Mais oui, mamie, il va finir par arriver".
Voilà, la journée
s'est terminée par une visite éclair chez ma maman, un petit bisou (c'est quand
même la fête des mamans pour ceux/celles qui n'auraient pas suivi) et on rentre
chez nous….
J'ai oublié pleins de
trucs, mais la journée a été tellement dur, faut pas m'en vouloir.
On dit qu'il faut arrêter
d'y penser pour que ça marche, mais là comment arrêter d'y penser??? Je n'ai
fait que ça toute la journée, me dire, me répéter sans cesse que je ne suis pas
une maman…
Sinon, j'en suis à 4
piqûres de déca et rien à signaler.
Vivement l'écho de
contrôle pour lancer la stim.